CELIA NUNES
naturaliste en devenir
MES TRAVAUX DE RECHERCHE
Production et consommation responsable
Consommer un produit, un réflexe simple mais pourtant indispensable pour un être humain. D’après le courant Keynésien revendiqué par Keynes au XXème siècle, la consommation permet de dynamiser et de relancer l’économie et donc créer des emplois. Pour cela, il faut donc produire pour nourrir, subvenir aux besoins des consommateurs dans le monde. Ces deux actions impliquent certains enjeux socio-économiques et environnementaux.
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Le Tourisme et l'Ecologie: l'alliance impossible ?
Suite à la dégradation de l’environnement, à la pollution, à l’épuisement des ressources naturelles, il est temps de trouver des solutions pour limiter les dégâts et pour assurer un meilleur avenir pour la génération future. Encore quelque peu confuses, face à un nombre de touristes qui augmente considérablement, la réconciliation entre le tourisme et le développement durable en est encore qu’à ses débuts.
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Le Pâturage et l'ouverture des milieux
Un milieu ouvert est un milieu qui subit une pression, raisonnée ou non, exercée par le pâturage. L’arrêt de cette activité entraine donc cette fermeture qui entraine différents impacts, tant au niveau écologique et économique que sociologique. Tel que l’homogénéisation des paysages, l’étouffement des plantes ou même l’augmentation des risques d’incendies.
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La Communication Verte
À l’ère de l’éveil des consciences écologiques et des grandes questions environnementales, le marketing vert, aussi appelé « Green Marketing », apparaît comme une opportunité de communication non négligeable pour les organisations. Les entreprises ont évolué. Il y a quelques années, l’environnement et l’écologie étaient considérés comme des contraintes à minimiser afin de permettre l’accroissement des bénéfices. Aujourd’hui les industries ont pris conscience de la nécessité d’intégrer l’environnement à toutes les étapes de leur production.
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L'agroécologie
D’ici 2050, on estime que la population humaine atteindra les 9 milliards d’habitants. Notre mode de production va donc devoir s’adapter pour suivre cette croissance démographique. Nos besoins de production et de consommation vont donc devenir de plus en plus conséquents à l’échelle de la planète. On va donc s’appuyer sur les pratiques de l’agroécologie. Cette pratique agricole devrait aider à optimiser toutes les agricultures pour évoluer vers une productivité élevée de manière la plus écologique possible, et non faire table rase de l’agriculture conventionnelle qui nous nourrit.
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Les espèces exotiques envahissantes
Depuis longtemps, les migrations humaines ont été accompagnées d’introduction d’espèces, volontaire ou involontaire sur des territoires qui ne leur sont pas destinés. Avec le développement des voies de navigation, aériennes et terrestres et le système de mondialisation, cela a favorisé un flux croissant de personnes et de marchandises entre les pays et les continents. Des espèces exotiques sont importées à des fins commerciales comme espèces d’ornement. Elles peuvent également être introduites de manière involontaire. La reproduction et l’expansion de certaines de ces espèces sur le territoire d’accueil peuvent engendrer de nombreux impacts, et notamment des impacts sur le fonctionnement des milieux naturels et ses êtres-vivants.
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Le confinement et la biodiversité
Les espèces retrouvent leurs espaces naturels qui ne sont plus occupés par les touristes, les oiseaux et les chauves-souris sont moins perturbés par la pollution sonore et lumineuse, les sangliers se promènent dans les milieux urbains, des dauphins ont été aperçus près des ports... Avec le confinement, animaux sauvages et plantes profitent du calme retrouvé, tandis que les humains, prennent plus le temps d'observer la nature. Cependant, quelles interrogations se posent. Avec la crise du coronavirus, les mesures mises en place pour faire face à la pandémie ont pris le dessus sur les enjeux liés au climat.
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Milieux agricoles : réserves de biodiversité
Dans une mosaïque de paysages au sein d’un territoire, les continuités écologiques favorisent la biodiversité. Le « réseau écologique » connecte des réservoirs de biodiversité remarquable et ordinaire, reliés par des corridors qui permettent la circulation d’espèces animales et végétales. Nous avons remarqué que nos principaux alliés face à ses menaces pourraient être ceux qui nourrissent le monde : nos agriculteurs. En effet, face à la crise climatique et les menaces qui nous poursuivent, l’agriculture raisonnée se développe de plus en plus.
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Faut-il réglementer pour préserver ?
Le premier espace protégé français a été créé en 1861 par le décret de Napoléon III pour la protection du massif de Fontainebleau. Aujourd’hui, le réseau d’espaces protégés s’est progressivement développé et a permis la conservation d’une grande diversité d’espèces et d’écosystèmes. Cependant, les réglementations actuelles imposent des directives à chaque acteur des territoires incluant un espace protégé ont un impact direct sur leurs activités. Au vu de l’année 2050, la crise climatique et la protection de l’environnement ne doivent être pas être détriment des besoins socio-économiques de la population.
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